Choisir son syndic de copropriété dans les meilleurs conditions

Bien choisir son syndic de copropriété et limiter les frais grâce à quelques astuces

La loi Alur promulguée en mars 2014 a été mise en place pour prévoir une amélioration de l’accès au logement, tant pour les locataires que le propriétaires. Cependant concernant les syndics de copropriété très peu de syndics respectent le contrat type prévu par la loi Alur. C’est à dire le contrat-type mis en place afin d’améliorer la gestion des copropriétés.

Une grande majorité des syndics violent les obligations de la loi ALUR, usant et abusant alors de cette dernière pour justifier leurs tarifs excessifs. Des forfaits vendus comme tout inclus, mais au final trompe l’oeil, puisqu’ils présentent des prestations obligatoires comme incluses et inversement des prestations annexes comme payantes. Des clauses illicites venant alourdir les charges des syndics de copropriétaires et des prestations particulières aux tarifs démesurés.

Alors comment faire pour choisir son syndic de copropriété en toute confiance ? Voici quelques astuces qui pourraient vous aider :

  • Se renseigner sur la loi Alur avant de s’engager auprès d’un cabinet de syndic de copropriété
  • Ne pas hésiter à négocier les honoraires proposés par le cabinet de syndic
  • Être vigilant quant au coût des assemblées générales qui peut rapidement varier selon l’heure ou le lieu choisi pour son organisation
  • Fixer le nombre de visites de la copropriété qui doit être déterminé en fonction des besoins de l’immeuble et non selon les désirs du cabinet de syndic
  • Être très vigilant quant aux abus incessants, notamment au niveau des prélèvements par le cabinet de syndic.
  • Guetter le tarif de “l’état daté” qui varie de 400 à 1000 euros selon les cabinets gérants des syndics de copropriété.

Soyez vigilants et informés pour choisir le syndic de copropriété qui gérera votre immeuble !